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9 janvier 2024 2 09 /01 /janvier /2024 01:25

AUXONNE, HARO SUR CLAUDE-XAVIER GIRAULT (2) - du 09 janvier 2023 (J+5501 après le vote négatif fondateur)

Petite information préalable avant de poursuivre notre série.

L'organe de communication de notre bonne ville récidivait encore hier en postant sur facebook, et pour la troisième fois un nouvel appel aux votes, à commentaires bouclés. Nous avions réagi en temps voulu aux deux premiers posts, nous signalons donc le troisième.

AUXONNE, NOM DE LA MÉDIATHÈQUE : « VOTE ET TAIS-TOI » ! (2) - du 20 décembre 2023

Et voilà qu'on remet ça ? À croire vraiment qu'on prend les Auxonnais pour des moutons et peut-être pire encore ?

En attendant revenons à nos moutons !

Notre article d'hier était une simple mise en bouche. Il montrait, à vrai dire sans beaucoup de peine, le peu de qualité des arguments avancés pour le choix du vote « passage » tels qu'exprimés par nos cerveaux communicants.

N.B. Je ne vise aucunement ici notre sympathique concitoyenne qui proposa ce choix pour limiter les dégâts, mais l'indigence de pensée et d'expression des têtes communicantes dans les arguments avancés en faveur de ce choix ! Comme « pavé de l'ours » on ne saurait faire mieux !

AUXONNE, HARO SUR CLAUDE-XAVIER GIRAULT (1) - du 08 janvier 2023

Pour nos lecteurs pressés qui n'utiliseraient pas le lien ci-dessus nous reproduisons cette perle rare.

« En mémoire de la ruelle de notre ville qui donne accès à la future médiathèque, il [n.d.l.r. Chantecler : « Le Passage »] est aussi un lieu d'histoires, de mémoire et de transmission dont les auxonnais pourront être fiers ». (Cf. Inf'AUXONNE 81 p. 9) 

Et l'analyse que nous avions faite de cette pitoyable « bouillie pour les chats »

Comment faire mémoire « de la ruelle de notre ville qui donne [n.d.l.r. Chantecler : 3ème personne du présent de l'indicatif] accès à la future médiathèque » sachant que l'emploi du présent indique de façon évidente que ladite « ruelle » existe encore et que par ailleurs, dans notre bonne ville, elle ne fut visiblement jamais désignée comme telle ! Pour le coup, mes loulous, c'est fort de café... de la Renaissance !

Conciliant le respect de notre belle langue française et de nos concitoyens, nous nous interdisons, quant à nous, de pareilles horreurs.

La ruelle en question ne fut en outre jamais désignée par les autorités auxonnaises comme « ruelle ». Pourquoi pas « ruelle du chat qui pète » pendant qu'on y est ? Quelques heures de consultation d'archives en lignes de 1800 à 1950 nous permettent de l'affirmer.

D'ici quelque temps, j'en ferai état en détail dans un article détaillé et illustré que je publierai dans le blog « La petite fabrique de l'histoire » qui fut celui de feu mon épouse Martine et dont j'ai repris l'administration au service de mes concitoyens curieux d'histoire locale, plus que d'élucubrations fumeuses de « curiositerie » !

Voici donc, en attendant, un bref aperçu fondé sur les divers plans, recensements et dénombrements de population que nous avons consultés.

L'appellation « Passage Xavier Girault » est attestée depuis le début du siècle dernier et aujourd'hui encore sur google street ainsi que par la plaque de marbre blanc gravée qui surmonte encore la grande entrée côté rue Antoine Masson et qui mériterait d'être restaurée.

Avant cela, et remontant dans le temps, pour la période 1850-1900, nous n'avons trouvé aucune dénomination, et pour cause, au vu des documents nous avons constaté que les personnes habitant dans ce secteur y étaient alors recensées indistinctement avec les habitants de la grande place actuellement nommée « Place d'Armes ».

De 1800 à 1850, la voie publique porte un nom et plusieurs plans la désignent sous le nom de « Rue des boucheries »

Un petit cadeau pour vous à présent chers concitoyens !

Un vrai cadeau, pas une banalité à deux balles de celles dont vous gratifient en matière de médiathèque nos têtes communicantes.

Un petit cadeau trouvé lors d'honnêtes, longues et patientes recherches et qui concerne Claude-Xavier GIRAULT

Je mène actuellement une recherche sur retronews, un site payant de la BNF, auquel je paye l'abonnement sur mes deniers afin de mieux vous informer. Cette recherche vise à trouver l'ocurrence « Passage Xavier Girault » dans la presse régionale entre 1850 et 1900.

Pour le moment je n'ai pas trouvé de « Passage Xavier Girault » mais j'en ai trouvé une bien bonne à propos de Claude-Xavier GIRAULT qui pour être un honnête érudit n'était pas pour autant infaillible. L'erreur est humaine et votre serviteur, tout comme Claude-Xavier GIRAULT, en cela est un homme. Ce qui est moins humain est d'enfumer sciemment et à jet continu ses concitoyens !

Un journaleux, chroniqueur du Progrès de la Côte-d'or, trouva un jour matière à copie en mettant en défaut une affirmation de Claude-Xavier GIRAULT dans le numéro du Progrès de la Côte-d'or du 5 septembre 1883.

Nous n'avons pu vérifier ses dires car, comme bien souvent, notre homme ne cite pas ses sources, sans doute a-t-il la science infuse ?

Je vous propose la lecture de ce document chers lecteurs.

Je ne pouvais en rester là, j'ai donc tiré l'ouvrage de Girault cité par le journaleux de ma bibliothèque, j'y ai recherché le texte en question et, je vous le donne en mille, j'y ai trouvé sur la page d'à côté un pan d'histoire napoléonienne concernant notre bonne ville. Une trouvaille intéressante pour celui qui, bien entendu a étudié s érieusement la question et sait lire entre les lignes, ne se contentant pas de gesticuler sur les podiums en criant « Vive l'Empereur » tous les quarts d'heure.

Pour vous, très chers amis, j'ai scanné le tout.

Pour plus de détails, les plus gourmands d'entre vous, ceux que démange une vraie curiosité, et pas la seule volonté de se faire mousser dans les journaux à peu de frais, pourront se reporter aux articles en lien ci-dessous.

CHARMOY-CITY : LE PREMIER CONSUL, SON BUSTE ET LE COMMISSAIRE (1) - du 14 septembre 2021

CHARMOY-CITY : LE PREMIER CONSUL, SON BUSTE ET LE COMMISSAIRE (2) - du 17 septembre 2021

Notre conte inédit et son illustration ont connu un vrai succès. Nous en rediffusons l'illustration dans une nouvelle version non expurgée par la censure municipale !

Le temps fraîchit, nous souhaitons à nos remueurs de méninges une super Bérésina dans leur naïve prétention à piétiner la vraie culture en prenant tous les Auxonnais pour des benêts !

À bientôt pour notre troisième épisode de notre série « HARO ». Épisode qui sera consacré à de libres considérations relatives à l'expression démocratique par le vote, à son sens, à sa valeur, à sa portée et à ses conséquences.

Rappelons que l'ère Chantecler compte ses jours d'existence à partir d'un « vote négatif fondateur », nous évoquions d'ailleurs la question il y a peu.

AUXONNE : DU CALENDRIER RÉVOLUTIONNAIRE AU CALENDRIER CHANTECLER- du 17 décembre 2023

 

Indignation du Premier Consul et de son maire auxonnais

Indignation du Premier Consul et de son maire auxonnais

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 09 janvier 2024 (J+5501 après le vote négatif fondateur)

Publié dans Curiositeries

 

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Curiositeries
8 janvier 2024 1 08 /01 /janvier /2024 01:01

AUXONNE, HARO SUR CLAUDE-XAVIER GIRAULT (1) - du 08 janvier 2023 (J+5500 après le vote négatif fondateur)

Toujours dans la rubrique  « Curiositeries », notre nouvelle série intitulée «  AUXONNE, HARO SUR CLAUDE-XAVIER GIRAULT » comprendra trois épisodes.

Nous publions aujourd'hui le premier.

Juste un petit hors-d’œuvre pour vous mettre en appétit

Le troisième et dernier de ces épisodes devrait paraître au plus tard vendredi prochain 12, jour des vœux de notre premier édile et dernier jour de la votation en ligne pour le choix d'un nom pour la médiathèque.

Laissant de côté « curiositerie » et « binette » (choix émanant des doctes réflexions d'un cabinet de communication), nous concentrerons notre réflexion sur le choix « passage ».

 

Ce choix, précisons-le, n'est pas issu du fameux remue-méninges du 6 octobre 2022.

Il est largement postérieur et appartient à une citoyenne auxonnaise qui le proposa spontanément le jeudi 4 mai 2023  en salle du conseil municipal, réunion à laquelle les "habitants ayant participé à l’atelier remue-méninges » furent conviés.

Bien qu'ayant été « oublié » dans la liste des « habitants » concernés votre serviteur était ponctuel au rendez-vous.

Dans le laïus qui définit l'option « passage » et qui a été recuisiné à la sauce com, nous ne retiendrons que l'argument mémoriel :

« En mémoire de la ruelle de notre ville qui donne accès à la future médiathèque, il [n.d.l.r. Chantecler : « Le Passage »] est aussi un lieu d'histoires, de mémoire et de transmission dont les auxonnais pourront être fiers ». (Cf. Inf'AUXONNE 81 p. 9) 

Dans la ligne d'Edmond ROSTAND, l'auteur de Chantecler, qui écrivit aussi Cyrano, nous

rétorquerons : « Ah ! Non ! C'est un peu court jeune homme... » en ajoutant prosaïquement en tant que contribuable auxonnais : « c'est un peu cher du caractère ! »

Dans notre dernier article, particulièrement apprécié de nos vrais lecteurs, de tels couplets en prêt-à-publier coupe novlangue à prix cassés ne semblaient pas du tout convaincre Claude-Xavier GIRAULT. Bonaparte lui-même partageait la légitime indignation de Claude-Xavier !!

AUXONNE, LE NOËL DE CHANTECLER SUIVI D'UN CONTE INÉDIT (6) - du 06 janvier 2023

Quelques heures de travail sur de véritables sources documentaires nous ont déjà fourni matière à des arguments convaincants pour un commentaire raisonné de la citation ci-dessus.

Mais d'abord, sans faire beaucoup d'histoire un petit exercice de mise en bouche et de concordance des temps.

Comment faire mémoire « de la ruelle de notre ville qui donne [n.d.l.r. Chantecler : 3ème personne du présent de l'indicatif] accès à la future médiathèque » sachant que l'emploi du présent indique de façon évidente que ladite « ruelle » existe encore et que par ailleurs, dans notre bonne ville, elle ne fut visiblement jamais désignée comme telle ! Pour le coup, mes loulous, c'est fort de café... de la Renaissance !

Dans nos deux prochains épisodes, à ne pas manquer, avec l'aide de Claude-Xavier GIRAULT et de l'Empereur des artilleurs, nous mettrons nos obusiers en batterie (pas vrai Ridley) avec des caissons bien garnis contre certaines vésanies et autres amnésies du même tonneau !

 

 

Devoir de mémoire pourClaude-Xavier Girault

Devoir de mémoire pourClaude-Xavier Girault

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Curiositeries
6 janvier 2024 6 06 /01 /janvier /2024 05:00

AUXONNE, LE NOËL DE CHANTECLER SUIVI D'UN CONTE INÉDIT (6) - du 06 janvier 2023 (J+5498 après le vote négatif fondateur)

 

Aujourd'hui, c'est le jour du conte !

Nous l'annoncions hier, il est enfin écrit ! (notez au « passage » l'alexandrin bien balancé, à la façon de Victor)

AUXONNE, LE NOËL DE CHANTECLER SUIVI D'UN CONTE INÉDIT (5) - du 05 janvier 2023

J'ai passé deux nuits à l'écrire, et j'ai des cernes impériaux sous les yeux !

Ça commence mal ! T'as oublié de lui trouver un titre ! Gros bêta !

Vous avouerez quand même qu'un conte sans titre, c'est comme un régiment sans drapeau, ou un Napoléon sans chapeau !

Le choix du titre est essentiel dans une œuvre de fiction quelle que soit sa taille !

Tout éditeur vous dira ça et vous pondra le titre ronflant qui se vend, ce qui n'empêchera pas le lecteur de ronfler en lisant l'ouvrage soi-disant « passionnant » que lui a vanté la dithyrambique quatrième de couverture marketing taillée sur mesure !

Pour en revenir au choix de notre titre, nous tenons déjà, pour le déterminer, le cadre spatio-temporel dans lequel se situe notre conte de Noël : Auxonne, Rue des Halles, 24 décembre 2023 à l'approche de minuit.

Ne trouvez vous pas, après tout, que brut de décoffrage ça fait un titre béton (pas vrai Léo?).

D'un tel titre, on peut tout en attendre : miracle, crime, extase.... voire incendie de voitures, pour rester dans la réalité récente.

Votre serviteur qui était seul ce soir-là...

Je parle du 24 décembre, pas le jour de l'incendie où j'entendis péter les pneus dans mon lit où j'étais seul... avec Bianca.

Arrête Chantecler, on sent déjà que tu vas nous jouer « La petite fille aux allumettes »

Tu l'as dit bouffi ! Mais je suis pas du genre à pomper Andersen ! Moi, je fais du maison, je joue pas les Napoléon en faisant mon fanfaron. Mon petit conte, il est bien à moi, ce n'est pas une ressucée de « La petite fille aux allumettes », c'est « mon petit conte qui allume » !

Tiens ! « Mon petit conte qui allume » ! Ça pourrait faire un bon titre aussi, mais c'est pas vendeur pour un sou !

Après tout qu'importe, puisque nous sommes à l'heure des choix « Auxonne, Rue des Halles, 24 décembre 2023 à l'approche de minuit » ou « Mon petit conte qui allume » vous choisirez le titre qui vous convient !

Je vais pas, pour le coup, casser ma tirelire à payer un cabinet de com et vous infliger une votation. Une fois ça suffit ! Basta !

 

Attachez vos ceintures on entre à présent dans le conte !

Votre serviteur bien qu'il fût seul ce soir-là, avait mis néanmoins un point d'honneur à ne pas bouder la traditionnelle soirée de veille.

Mot d'ordre  : « Ne pas se coucher avant minuit ! ».

Toutefois, Bianca s'étant lovée lascivement sur mes genoux, je somnolais un peu au coin du feu, à l'approche de minuit... Alors soucieux d'atteindre l'objectif : « Ne pas se coucher avant minuit ! », bon petit soldat, je suis sorti pour prendre l'air....

Et voilà que passant devant l'une des portes de l'Arsenal de Vauban, celle ouvrant sur la rue des Halles qui descend tout droit vers la rue Vauban, dans le silence de la nuit déserte, j'entends une rumeur qui monte de la rue Vauban.

Intrigué, je m'arrête, jetant un bref coup d’œil vers la descente sombre et déserte à travers l'arc monumental de la porte.

Dans cette obscurité, je distingue alors à une bonne centaine de mètres deux silhouettes visiblement masculines nimbées dans une phosphorescence et marchant côte à côte.

Ni une ni deux ! Je sors fissa de ma poche l'excellent petit Nikon que ma pauvre Martine m'a laissé en héritage.

J'entends le duo échanger des propos et j'en perçois quelques mots : Professeur Lombard, Traiteur Dumont [chacun sait que le professeur Lombard et le traiteur Dumont, habitants de la rue Vauban, qui s'appelait alors rue de Saône fournirent à Bonaparte lors de son séjour à Auxonne, le premier des nourritures intellectuelles, le second une nourriture très matérielle].

J'en déduis qu'il s'agit de deux touristes amateurs de l'Empereur arrivés tardivement et qui, pressés de découvrir les lieux que fréquentait Bonaparte, ont fait une reconnaissance nocturne avant de rentrer à leur hôtel.

Je me dis, que quand ils seront à ma portée je tenterai de combler leur curiosité apparemment très grande comme je le fais avec tant de touristes qui se baguenaudent en ville, de ceux qui ne marchent pas en troupeau et qui lèvent les yeux vers les monuments intéressants. Pas plus tard qu'hier je l'ai fait avec une sympathique famille d'Auxerre qui prenait une photo du Passage Xavier Girault.

Revenons à notre conte !

Le temps de penser à ma bonne résolution, je constate que mes touristes ont avancé, qu'ils sont à présent à portée de photo et sans complexe j'en prends une première réalisant alors qu'en cela je me fais touriste au second degré qui prend des photos de touristes. Ils sont encore loin, assez proches toutefois pour que je constate, malgré l'obscurité, qu'ils tiennent chacun à la main, un guide, un plan ou quelque chose du même genre.

Est-ce le rapprochement ou leur excitation croissante, j'entends à présent leurs intonations résonner, menaçantes, dans l'obscurité de la rue déserte :

« Musée Bonaparte » ! « Bibliothèque » !

Visiblement nos deux touristes ne sont pas du genre à se contenter de cartes postales et de goodies !

Il est vrai que si la petite histoire peut se trouver au tabac du coin, la grande ne peut se trouver que dans un musée digne de ce nom et un fonds d'ouvrages sérieux !

Du coup, je rectifie ma première hypothèse en me disant : il est évident que ces deux messieurs sont gens sérieux, arrivés sans doute depuis quelques jours, et qu'ils n'ont pu accéder aux lieux de conservation qu'ils comptaient bien visiter. Il est vrai que nous sommes en période de vacances !

N'en disons pas plus, nos lecteurs savent bien qu'il est des vacances qui se comptent, pour certains lieux, en années !

Je m'arrache à ces conjectures et réalise que nos deux quidams en colère foncent à présent directement sur moi, dans dix secondes ils me tomberont sur le paletot.

Bigre ! Ils sont en costume ! Mazette !

Je reconnais le Premier Consul et l'ancien maire de notre bonne ville qui l'a bien connu et loyalement servi, Claude-Xavier Girault.

Ils semblent ne pas m'avoir vu, n'ayant d'yeux que sur les papiers qu'ils tiennent à la main, et qui semblent avoir sur eux, et particulièrement sur l'excellent Claude, l'effet du chiffon rouge sur un taureau.

Fissa je me rencogne, aussi discrètement que possible, dans le cadre de la petite porte de la rue des Halles, et aussi sec je fais FOMEC BOT (je me camoufle en langage de mirlitaire).

Chers lecteurs, j'entends votre cœur battre la chamade, est-ce mon suspense ou l'uniforme qui vous impressionne à ce point !

Faisons une petite pause hygiénique, si vous le voulez bien, pour dissiper votre malaise. Et, avant de continuer, découvrons ensemble un petit antidote, plus sain que le quart de gnôle du poilu qui monte en ligne « à la fourchette », et qui vous rendra votre bonne humeur. Garanti ! Après cela, plus rien ne vous impressionnera !

https://www.youtube.com/watch?v=U1lQJ4Oc_VY

Ça va mieux ? Vous avez repris vos esprits ? Moi aussi ! Donc, je poursuis

Quelques mètres avant d'atteindre la porte monumentale de l'Arsenal, confirmant le peu d'intérêt qu'ils me portent, ils s'arrêtent et font un « à gauche... GAUCHE !» comme à la parade.

À présent, me tournant le dos, les voici face à la porte qui mène au premier étage des Halles dont le couloir conduit jusqu'au fond au Salon d'honneur des Halles ! Les services sont pourtant fermés ! Qui leur a donné la clef ?

Attention, je vais vous sécher ! Sans clef, « sans peur et sans reproche », nos deux gaillards, comme Bayard, à travers la porte jouent les passe-muraille !

Remis de mes émotions, je m'avance vers la porte que le duo historique vient de traverser, comme la mitraille traverse la chair à canon (pas vrai Ridley?!) 

Si la porte a laissé passer les deux héros, les brochures qu'ils brandissaient, elles, ont été arrêtées comme le marc de café ou la lie dans le filtre ! Elles n'ont pas passé la porte, elles ne passeront pas non plus à la postérité, hors de notre blog, du moins !

Quelles brochures ? Vous les reconnaîtrez sur mon modeste reportage photo. Ce ne sont pas des curiosités rares de savantes bibliothèques et si vous ne les avez pas encore lues ce sera chose facile de les découvrir au format papier ou en ligne.

Je vous livre à présent mon petit reportage. Vous serez sans doute déçus de ne pas y découvrir les photos de nos deux héros. C'est que l'excellent petit Nikon de ma pauvre Martine qui a photographié archives et éléments du patrimoine, ne retient pas les images de fantômes. Mais je le répète, vous y reconnaîtrez les fameuses autant que fumeuses brochures qui révoltaient à juste titre ce pauvre Claude-Xavier !

Mais au fait, Chantecler, qu'allaient-ils donc faire là-haut, nos deux héros, dans ce salon où résonnent encore, dans les tristes nuits d'hiver, les affligeants échos du « remue-méninges » du 6 octobre 2022 ?

Comme disait Napoléon, un bon croquis vaut mieux qu'un long discours ! Pas vrai ? Alors vas-y Claudi sort ta superbe image ! Et pan dans la « binette », à boulets rouges, à la façon de Ridley !

 

PS

Sans entrer dans le détail et sans rapport particulier avec le présent conte d'ailleurs, notre rédaction a découvert dans la presse locale d'hier un fait divers particulièrement tragique dont le meilleur rapporteur post mortem était le disparu lui-même.

Cet homme nous était inconnu. Nous souhaitons tout de même rendre hommage à la force de son écriture dont la presse a publié des extraits. Pour nous, une authentique perle noire émergeant d'un océan de broutilles ! RIP

Auxonne, 24 décembre 2023, Claude et Napoléon

Auxonne, 24 décembre 2023, Claude et Napoléon

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 06 janvier 2024 (J+5498 après le vote négatif fondateur)

Publié dans Curiositeries

 

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Curiositeries
5 janvier 2024 5 05 /01 /janvier /2024 01:56

AUXONNE, LE NOËL DE CHANTECLER SUIVI D'UN CONTE INÉDIT (5) - du 05 janvier 2024 (J+5497 après le vote négatif fondateur)

Heureux de vous retrouver, amis lecteurs, pour la troisième fois déjà dans le nouveau millésime 2024 : celui de tous les dangers à en croire le matraquage des médias !

Le présent article, le troisième de l'année, sera aussi l'avant-dernier de la série « AUXONNE, LE NOËL DE CHANTECLER SUIVI D'UN CONTE INÉDIT ».

Il constituera un prélude au « conte inédit », que je vous avais promis de publier avant l'Épiphanie.

Le « conte inédit » lui-même sera publié demain. Ce « conte inédit », vous ne le lirez nulle part ailleurs. À moins qu'Inf'Auxonne ne nous ouvre ses colonnes !

Mais pourquoi nous fait tu languir ainsi Chantecler  en ne publiant pas ton conte aujourd'hui ?

J'ai pour cela cela deux raisons.

 La première est la volonté de ne pas faire trop long dans un environnement ou le tweet est devenu roi et fait la mesure des échanges.

La seconde est celle de de réserver au conte un espace bien à lui.

Si vous ne m'avez pas bien compris, on va faire un petit « remue-méniges » gratuit !

Tenez ! Nous sortons d'une période de réveillons comme l'indique notre précédent article

AUXONNE, LA VOTATION QUI GÂCHE LES RÉVEILLONS - du 03 janvier 2024

Alors, permettez-moi de filer la métaphore gastronomique, comme le gruyère file dans le gratin de macaronis.

Nous sommes aujourd'hui dans la cuisine où s'élabore le plat et demain je vous le servirai bien dressé sans vous assommer avec les détails de préparation et l'origine des ingrédients.

En cela, encore une fois, je ne serai pas moderne, car à présent on passe plus de temps à commenter et à gloser qu'à savourer tout simplement !

Restons-en là, si vous le permettez en matière de table.

Et revenons à la littérature....Un conte peut être aussi une façon de dire des réalités socio-culturelles assez peu reluisantes en les narrant avec humour. Les exemples ne manquent pas !

Ainsi d'un conte de G. Lenôtre, ce grand historien populaire, conte tiré de ses « Légendes de Noël Contes historiques » qui nous rapproche des intérêts historiques locaux du moment et qui s'intitule « La carrière de Monsieur Colleret ». Une belle carrière sous le signe des deux Napoléon l'oncle et le neveu.

Pour nos lecteurs addicts des mamies conteuses et en mal de conte, qui ne peuvent attendre à demain, nous en proposons dès aujourd'hui une lecture à partir du lien ci-dessous.

BONAPARTE, DES CASERNES ET DES BOTTES (2) : LÉGENDES DE NOËL (5) - du 08 janvier 2023

Chers lecteurs vous voilà conduits à présent sur le bon terrain (de manœuvres), je peux vous avouer à présent que mes sources d'inspiration du conte de demain rejoignent d'une certaine manière celles de G. Lenôtre.

Tendez votre oreille à présent, avec ou sans appareil ! Déstocke ton cornet acoustique Tournesol ! Entendez bruire cette eau vive, écoutez la voix de la source de mon inspiration qui un beau soir jaillit à travers le rocher, qui n'était pas le fameux « Rocher de Sainte-Hélène », mais bien pire et plus noir encore :

« J'ai assisté , il y a plus d'un an (6 octobre 2022), à un prétentieux exposé qui a bien plus vidé la tirelire communale qu'il n'a enrichi les capacités d'imagination de l'auditoire indigène dont j'étais.

L'honnêteté intellectuelle et la franchise m'obligent à déclarer n'avoir pas été inspiré pour un sou par ce verbiage, tout au plus avoir été surpris et amusé et n'y avoir rien appris qui vaille, hormis sur l'art d'épater le gogo.

Cerise sur le gâteau, l'un des assistants à cette soirée, réputé ou autoproclamé spécialiste, visiblement contrarié de m'entendre mettre des bémols à cette pantalonnade, commença à piaffer, voulant occuper pour lui tout seul, selon son habitude le devant de la scène.

Il s'agaçait de mon libre amusement et aurait sans doute aimé me mettre au garde-à-vous si du moins il l'avait pu. Visiblement remonté il tenta de clouer le bec de Chantecler sans ménagement. À la hussarde ! Mal lui en prit ! »

Voilà chose faite, le tableau est posé dans sa parfaite trivialité.

Vous découvrirez demain, le joli conte inspiré par cette affaire dont une séquelle et non la moindre est la votation du jour à la mode, qui trouvera bien entendu sa place dans notre conte.

À demain donc chers lecteurs !

Claudi ne s'est pas fatigué en reprenant une vision synthétique de la magistrale soirée du 6 octobre 2022 dont on attend encore le compte-rendu officiel.

 

 

Auxonne brainstorming mercatique à nouveaux frais

Auxonne brainstorming mercatique à nouveaux frais

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 05 janvier 2024 (J+5497 après le vote négatif fondateur)

Publié dans Curiositeries

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Curiositeries
3 janvier 2024 3 03 /01 /janvier /2024 01:00

AUXONNE, LA VOTATION QUI GÂCHE LES RÉVEILLONS - du 03 janvier 2024 (J+5495 après le vote négatif fondateur)

Nous ferons court aujourd'hui ! Quelle surprise !

Nos meilleurs vœux d'abord, et pour ceux qui ne les ont pas encore lus,il est encore temps de le faire !

AUXONNE, LES VŒUX 2024 DE CHANTECLER - du 1er janvier 2024

Nous ferons court aujourd'hui ! Quelle surprise ! Ça t'étonne Léone ! Ça t'en bouche un coin Sébastien !

L'élaboration de notre conte inédit à paraître en deux épisodes avant l'Épiphanie nous impose une trêve.

Mais, comme on dit à la « Curiositerie », une trêve de Chantecler, ça vaut au moins trois remue-méninges et surtout c'est moins cher ! Pas vrai, ma chère ?

En quelques lignes et une image nous ferons d'un coup, de l'histoire, de l'humour et de la philosophie.

L'histoire d'abord, c'est notre référence à l'affaire Dreyfus et son effet destructeur sur les repas de famille...et donc aussi les réveillons bien entendu !

De la philosophie vous en trouverez dans l'image

Et l'humour alors ? Eh ben ! Il est partout mes loulous (et mes louloutes!)

 

Post scriptum (03 janvier 2024 16h00)

Après une petite promenade de santé dans notre Grande rue, « Désert des Tartares » désespérant en ces lendemain de fêtes, j'allais m'atteler à la rédaction du « conte inédit » promis lorsqu'une idée m'est venue (encore une) à propos de la réception de l'illustration du présent article.

Et en particulier des personnes à qui Claudi, mon Doppelgänger, a donné la parole : Arlette, Gaston et Jean-Paul Sartre.

Attention réception au sens littéraire et pas réception où l'on se pousse du coude pour fourrer des petits-fours dans ses poches et qui sont de saison !

Pour votre serviteur tout est clair, pas vrai Chantecler : Arlette est une dinde de réveillon, Gaston est peut-être un peu macho mais il a encore un cerveau, quant à Jean-Paul je compatis à sa nausée et la comprends.

Il n'est pas du tout évident que cette lecture satisfasse les initiateurs(trices) du légendaire remue-méninges du 6 octobre 2022.

Je verrais plutôt le contraire : Jean-Paul, fumeur impénitent et irresponsable à dénicotiniser fissa, Gaston, insupportable macho, Arlette, penseuse libérée et novatrice autant que délicieuse !

S'ils (elles) avaient lu La nausée, ils (elles) verraient Jean-Paul avec les yeux de Chimène car lui non plus n'aimait pas trop les bibliothèques de province, pas plus que la « binette » d'Impétraz d'ailleurs. Votre « curiositerie » vous chatouille ? ! alors cliquez sur le lien ci-dessous.

DE CHARMOY-CITY À BOUVILLE : RÉFLEXIONS SUR LA CULTURE - du 26 novembre 2017

 

Auxonne, vote pour la médiathèque

Auxonne, vote pour la médiathèque

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 03 janvier 2024 (J+5495 après le vote négatif fondateur)

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Curiositeries
1 janvier 2024 1 01 /01 /janvier /2024 17:09

AUXONNE, LES VŒUX 2024 DE CHANTECLER - du 1er janvier 2024 (J+5492 après le vote négatif fondateur)

 

Meilleurs vœux amis lecteurs !

Le conte inédit promis arrivera, comme prévu, avant l'Épiphanie !

AUXONNE, LE NOËL DE CHANTECLER SUIVI D'UN CONTE INÉDIT (4) - du 30 décembre 2023

En attendant recevez notre carte de vœux illustrée par Claudi.

Merci Claudi !

En PDF elle est très parlante !

Puissance de l'image....

Carte voeux 2024

Carte voeux 2024

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 1er janvier 2023 (J+5492 après le vote négatif fondateur)

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Curiositeries
30 décembre 2023 6 30 /12 /décembre /2023 12:10

AUXONNE, LE NOËL DE CHANTECLER SUIVI D'UN CONTE INÉDIT (4) - du 30 décembre 2023 (J+5491 après le vote négatif fondateur)

Bonjour amis lecteurs !

Cet article sera, promis juré, le dernier de l'année 2023  !

Dans notre précédent article nous découvrions les « Les petits chanteurs de la maîtrise d'Auxonne » dans les années 1950.

AUXONNE, LE NOËL DE CHANTECLER SUIVI D'UN CONTE INÉDIT (3) - du 29 décembre 2023

Il sera question aujourd'hui d'un rite de passage catholique qui concernait alors (années 1950) la quasi totalité d'une classe d'âge dans la population générale.

Ce rite de passage alors nommé « communion solennelle », concernait garçons et filles dans l'année  de leur douzième anniversaire . Les mêmes enfants accomplissaient l'année suivante le « renouvellement des vœux du baptême », vœux pris pour eux, en général dans leur première année de vie, par leurs parrains et marraines.

Je dois avouer qu'en l'exposant ainsi sèchement je comprends mieux la cohérence du parcours de la jeunesse chrétienne catholique de mon temps dont le souvenir me revient aujourd'hui moins « carré » mêlé de tant d'images et d'émotions juvéniles.

Pour les générations actuelles « communion solennelle » et « renouvellement des vœux du baptême » sont condensés en une seule cérémonie « la profession de foi ».

J'espère ne pas m'être trompé dans ce court exposé pour lequel je me suis placé en pensée sous la protection bienveillante de mon arrière-grand-oncle Monsignore Pier Luigi Speranza (1801-1879), évêque de Bergame. Eh oui ! Toujours les archives familiales !

 

Toutes proportions gardées et dans le domaine laïque cette fois, on peut comparer ce rite concernant toute une classe d'âge, ou presque, à la fête des conscrits et des conscrites que nous avons récemment étudiée dans un autre blog et qui comporte dans une certaine mesure un volet religieux.

La fête patronale d'Auxonne et les conscrits

Dans cet article, je rendais hommage au Chanoine Cornier, je le renouvelle aujourd'hui et à travers le temps. À cette figure d'homme ferme et courageux et d'éducateur je dis encore merci.

Toujours dans l'article en lien j'avais largement utilisé les bulletins paroissiaux de l'époque en grande partie rédigés de sa plume.

J'en citerai encore d'autres aujourd'hui, ce qui m'évitera de raconter des bêtises. Au passage, je répète qu'il vaut mieux se référer aux archives plutôt que de délirer de « curiositerie » en « binette » en faisant de la trottinette dans la « trottinetterie » et en jouant la retraite de Russie en trottinette ! Les présents à la guignolesque réunion du 6 octobre 2022 comprendront. Enfonçons le clou après tout puisque l'on s'acharne à nous bourrer le mou !

Les documents tirés de ces bulletins couvrent deux années 1958 et 1959, respectivement années de « communion solennelle » et « renouvellement des vœux du baptême » des jeunes nés en 1946.

Ils comportent beaucoup de renseignements, on y trouvera en particulier les listes de noms précises des communiant(e)s né(e)s en 1946 et 1947.

Permettez-moi encore, chers lecteurs de présenter quelques documents photographiques. Ces humbles documents personnels sans originalité particulière, je les ai pieusement conservés. Leurs homologues doivent encore peupler les tiroirs de nombres de mes conscrits et conscrites ou de leurs descendants.

Cette généralité est à considérer, plus que mon nom, ce beau nom d'espérance qui leur est attaché. Ce nom que l'Abbé Graillot, vicaire, francisait systématiquement lorsqu'il faisait l'appel des futurs communiants. J'entends encore résonner sa voix sous les voûtes de notre église : « Claude Espérance ». Honneur à la mémoire de cet éducateur !

Amis lecteurs, je vous ai décrit en archiviste amateur un petit tableau de la société de 1958.

À l'heure où dans notre bonne ville en particulier et dans tout le pays règne une dictature de la farce s'indignant à bon marché de la dictature de la force régnant à l'Est de notre continent, je voudrais rendre hommage à Anton Tchekhov, ce grand écrivain russe humaniste qui eut à pâtir du pouvoir tsariste et qui sut brosser avec tant de justesse et d'humanité le tableau des sociétés « grande russienne » et « petite russienne » (ukrainienne) de son temps.

Claudi illustrera donc ce dernier article de l'année par le portrait de cet admirable écrivain si propre à nous permettre d'analyser en finesse notre époque et qui accompagnait l'un de nos précédents articles à relire et à méditer.

TCHEKHOV DE NICE AU CAUCASE - du 16 octobre 2023

 

Avec Anton Tchekhov dans les montagnes du Caucase

Avec Anton Tchekhov dans les montagnes du Caucase

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Curiositeries
28 décembre 2023 4 28 /12 /décembre /2023 01:19

AUXONNE, LE NOËL DE CHANTECLER SUIVI D'UN CONTE INÉDIT (2) - du 28 décembre 2023 (J+5489 après le vote négatif fondateur)

Bonjour amis lecteurs !

Vous n'avez sans doute pas oublié le modeste cadeau que je vous promettais hier  en ces termes :

« À quoi rimeraient ces indigentes confidences, si je n'offrais à mes lecteurs patients un petit travail de mémoire dévoilant les sources profondes de cette « joie retrouvée » lors de cette « veillée de Noël » en l'église Notre-Dame d'Auxonne, joie qui m'était intérieure et que j'ose extérioriser. Ce travail de mémoire, je vous l'offrirai sans doute demain. »

AUXONNE, LE NOËL DE CHANTECLER SUIVI D'UN CONTE INÉDIT (1) - du 27 décembre 2023

Ce petit travail de mémoire, promis, je vous l'offrirai demain.

Auparavant, je tiens aujourd'hui à vous faire part de deux libres réflexions sur la question de la « mémoire » et qui m'ont été inspirées par « la nuit qui porte conseil ».

Philosophiquement, tout autant que physiologiquement cette question de la « mémoire » peut se révéler un abîme effrayant et sans fond.

À l'appui de cette affirmation, je voudrais vous livrer la première de mes deux libres réflexions.

À cet effet, j'ai sorti de mes archives une coupure de journal jaunie ( Le Bien Public du 24 avril 1993), elle nous parle « d'un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître » et de mon épouse Martine aujourd'hui disparue.

Tous ceux qui ont connu et aimé Martine mesureront la puissance destructrice du temps devant laquelle, créatures éphémères, nous sommes impuissants.

Ce gâteau amer, hélas ne suffit pas, il faut encore que vienne s'y poser la noire cerise de la malignité humaine.

C'est ainsi, que deux ans après son départ en retraite, Martine déjà fatiguée et prématurément vieillie par les prodromes de la maladie qui devait l'emporter, se vit sollicitée par son ancien employeur, pas gêné du tout, pour lui demander un travail.

Me croirez vous ? Ce même employeur deux ans auparavant, avait sèchement refusé la prolongation de carrière que Martine avait sollicitée dans sa volonté de terminer cette même tâche concernant le musée Bonaparte qui lui tenait tant à cœur et qu'il osait a posteriori lui demander, non pour faire plaisir à la bibliothécaire congédiée, mais parce-que les conséquences ultérieures de ce congé l'avaient mis lui-même dans l'embarras ! Tous les détails de cette incroyable affaire ont été exposés plus en détail dans notre blog

 

Quittons ces noires réminiscences pour aborder la deuxième réflexion sur la question de la « mémoire », réflexion dont le caractère tragi-comique, je vous le confie, convient beaucoup mieux, et à ma tournure d'esprit, et à ma plume !

Nous parlions plus haut d'un noir passé, posons à présent le décor d'un avenir radieux : Automne 2025, la médiathèque vient d'ouvrir ! « Binette », « Curiositerie », ou « Passage » quel est son nom ?

Excusez-moi, j'ai beaucoup de mal à le lire dans ma petite boule de cristal !

Qu'importe, je tourne fissa le bouton de mon IA (intelligence autonome) et j'appelle au secours mon imagination. Une image apparaît bien nette... L'image de la Grande rue 2025 dans le tronçon Antoine Masson, je pourrai peut-être y lire le nom

Tiens tiens ! Le gros chien est parti de devant la maison natale d'Antoine Masson. Il a juste laissé une crotte bariolée. Tu as signé ton forfait mon lascar !

AUXONNE : ANTOINE MASSON (1806-1860) ET SA RUE - du 04 Octobre 2023

Un brave garçon apparu dans l'image du futur me demande : « Kézaco le tronçon Antoine Masson ? ». Je lui réponds : « Louke un peu la plaque de la rue ». Le garçon me répond : « Y'a pus d'plaque ». C'est vrai la rue a perdu sa plaque. Une véritable épidémie dans les rues de la ville, le taux de plaques est au plus bas. Une épidémie qui, pour le coup doit réjouir le facteur...et la factrice aussi, soyons pas sexisse !

Tiens, tiens … J'avise une voiture qui se gare ! Il a un sacré mal le gaillard ! Le brave garçon, celui de la plaque de rue disparue, le guide dans sa manœuvre. Le gaillard, sa voiture garée, lui file un pourboire.

Curieux, comme à l'ordinaire, je m'enquiers : « T'as trouvé un bon job bonhomme !? ». Il me répond : « T'as pas vu l'ancêtre ? Les tires é z'ont pu de rétro because rétro interdit ! Du coup, j'ai trouvé un bon job ! »

Mon IA (intelligence autonome) très intuitive me traduit, en langage châtié et administratif la cause de ces « rétros interdits »: « Par souci de modernité et de changement, il est interdit de regarder en arrière, tout contrevenant sera transformé en statue de sel ».

Je pense alors : « Quel régime ! ». Et du coup, j'ai pas la banane !

Ma bonne ville n'arrêtera donc pas de souffrir des séquelles du remue-méninges du 6 octobre 2022 de triste mémoire.

AUXONNE, NOM DE LA MÉDIATHÈQUE : « VOTE ET TAIS-TOI » ! (2) - du 20 décembre 2023

Nous avons bien conscience d'avoir pu offusquer quelques-uns de nos lecteurs, mais c'était pour la bonne cause. Demain promis, nous ferons amende honorable en livrant notre modeste autant qu'émouvant « travail de mémoire » sage comme une image, pieuse de surcroît.

Quant aux œillères qu'on prétend nous mettre, soi-disant pour aller de l'avant, en nous empêchant de regarder en arrière vers le passé, que nos lecteurs se rassurent !

Pour ne pas tomber sous le coup de la loi d'interdiction de regarder en arrière, nous ruserons comme le troufion copain de l'ami Bidasse qui, trompant le poste de garde, sortait discrètement de la caserne en reculant pour faire croire qu'il y entrait !

Mais au fait en parlant de Cazernes (non y'a pas de faute !), il va falloir « désherber » toutes les bibliothèques auxonnaises et envoyer au pilon tous les exemplaires du « Mémorial de Sainte-Hélène » au motif que le Grand Empereur y marche souvent au rétroviseur. Rappelez-vous, vous qui avez lu l'ouvrage, la description des longues séances dans la fameuse baignoire dont l'eau très chaude soulageait les maux de l'Empereur et stimulait sa mémoire.

Elles ont été largement reprises depuis par un ouvrage incontournable dont nous faisions l'an dernier une nécessaire autant qu'objective recension

AUXONNE : UNE NOUVELLE RECRUE AU RAYON OUVRAGES IMPÉRIAUX (1) - du 01 octobre 2022

Hudson Love l'odieux geôlier de l'Empereur ne lui empêcha jamais ces longs bains chauds de nostalgie et de mémoire.

Que la baignoire de Sainte-Hélène devienne pour nous citoyens d'une ville impériale en péril de mémoire sous la férule de la « binette », le symbole de la résistance. Une seule consigne : « Votez Baignoire ! »

Je vois Claudi se réjouir, les archives ont du bon, il vote baignoire des deux mains et tire de ses cartons une illustration recyclée. Le recyclage est une nécessité pour la planète. Au diable les « curiositeries » et autres fantaisies coûteuses et consommatrices d'énergie ! C'est bon pour les cabinets !

J'entends le chœur des enfants : « Et notre conte inédit alors ? ». Avant l'Épiphanie, ça viendra les petits (et les grands qui ont gardé leur âme d'enfant) avant l'Épiphanie. « L'Happy fanny ? J'comprends pas m'sieu ! ». Avant la galette si t'aimes mieux ! Pour parler moderne et aller de l'avant !

PS "INFORMATION"

 Le blog Chantecler existe sous deux formules payantes pour l'éditeur et sans publicité de contenu identiques mais de présentations différentes :

- le blog "historique" Chantecler, créé en 2010 (adresse chantecler-auxonne.com. et avatar coq noir) celui que vous lisez actuellement et qui rencontre un grand succès depuis sa création.

le blog "nouvelle formule" Chantecler, créé en 2015 dans un souci de modernisation (adresse chantecler-auxonne.net. et avatar coq multicolore) celui que vous pourriez lire qui, techniquement,  comporte plus de possibilités, mais qui  malheureusement est en général assez peu fréquenté.

https://www.chantecler-auxonne.net/chantecler-ancienne-et-nouvelle-formule.html

 

De Longwood à Auxonne, la marche impériale au rétroviseur

De Longwood à Auxonne, la marche impériale au rétroviseur

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 28 décembre 2023 (J+5489 après le vote négatif fondateur)

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Curiositeries
27 décembre 2023 3 27 /12 /décembre /2023 00:28

AUXONNE, LE NOËL DE CHANTECLER SUIVI D'UN CONTE INÉDIT (1) - du 27 décembre 2023 (J+5488 après le vote négatif fondateur)

Trêve des confiseurs...

Notre précédente série est achevée.

AUXONNE, NOM DE LA MÉDIATHÈQUE : « VOTE ET TAIS-TOI » ! (4) - du 22 décembre 2023

L'année 2023, bientôt, aussi s'achèvera.

On vient de s'embrasser sous le sapin, on s'embrassera bientôt sous le gui.

Entre les deux, nous flotterons dans un temps vacant laissant place aux nostalgies et à la flânerie.... avant que ne démarre le parcours du combattant des vœux et de leurs discours convenus et formatés.

Chaque chose en son temps, nous sommes encore dans l'entre-deux.

Je dois vous confier à présent une chose inavouable chers lecteurs, le réveillon de Noël a toujours été pour moi un moment difficile. Les rites sociaux et familiaux consacrés par l'habitude, où l'on ne parle que de millésime, de cépage, de la provenance du saumon, et de la succulence du chapon en repoussant tout ce qui gêne ou peut fâcher sous le tapis et qui du coup ressort de plus belle en gâchant la soirée, ces rites sociaux et familiaux consacrés par l'habitude, vous disais-je, m'ennuient depuis bien longtemps.

J'écoutais samedi dernier, à ce propos, une pièce à la radio, un truc délicieux autant qu' atroce et je me réjouissais, en mangeant le frichti de bibi (N.B. : ma tambouille), de ne pas être de la fête entre « daurades-et-sanglier » titre de cette pièce grinçante mais hélas très bien vue !

https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/fictions-samedi-noir/daurades-et-sanglier-3194802

Mon souper du 24 au soir s'est tout bonnement résumé à un solide plat de spaghetti alla bolognese mitonné par mes soins sur ma cuisinière à bois, suivi de deux nonnettes à la confiture d'abricot et d'une orange. Délicieux menu consommé en solo avec un verre de Monte Velho en écoutant la radio.

J'entends déjà le chœur de mes nombreux amis apitoyés : Poverino ! Disgraziato !

À toutes ces âmes charitables, qui se sont tant réjouies à table, je répondrai en empruntant, en ce qui concerne du moins le chapitre des grands repas incontournables, la célèbre parole de Bernard de Clairvaux de Fontaine, tout près de Dijon : « O béate solitude, seule béatitude ! »

Avant mon casse-croûte autisto-égoïste en solo et ses humbles nourritures terrestres, j'avais rompu ma solitude en assistant à la « veillée de Noël » de 18h30 en l'église Notre-Dame d'Auxonne.

Animé par une belle jeunesse dans une église bondée et résonnant de cris d'enfants, cet office m'a plongé dans une joie retrouvée après un long temps de peines.

Tu disais vrai Guillaume, l'artilleur-poète : « la joie vient toujours après la peine ». Tu m'excuseras seulement d'avoir mis ton vers au présent.

Allez Guillaume fais pas cette binette ! D'ici deux ans tu seras à la médiathèque !

Trêve de plaisanterie à présent ! À quoi rimeraient ces indigentes confidences, si je n'offrais à mes lecteurs patients un petit travail de mémoire dévoilant les sources profondes de cette « joie retrouvée » lors de cette « veillée de Noël » en l'église Notre-Dame d'Auxonne, joie qui m'était intérieure et que j'ose extérioriser. Ce travail de mémoire, je vous l'offrirai sans doute demain.

Donc à demain, si vous le voulez bien comme disait Geneviève TABOUIS.

De vous à moi la fermeté et la justesse des paroles de cette vieille dame, que j'entendais sans plaisir sur Radio Luxembourg étant enfant, me remonte aujourd'hui sacrément le moral ! Merci Geneviève !

En attendant, Claudi qui n'est pas toujours en odeur de sainteté dans le temple municipal qu'est notre Hôtel de Ville ( bientôt « hôtellerie » de la « binette », belle enseigne, pas vrai, selon le principe de la « curiositerie »?) vous offre une jolie composition, dessin que d'aucuns (des méchants sans doute) trouveront sulpicien !

Le ton solennel du texte de conversion du jeune Claudel, n'est là que pour souligner, par contraste, la simplicité de mes retrouvailles avec une jeunesse catholique que j'avais un peu oubliée

Quelle joie de constater que malgré les évolutions des rites et de la société, par la permanence du lieu et la ferveur des chants, en notre église d'Auxonne au moins je me retrouve chez moi.

Et le conte annoncé alors ??? Il viendra tout de suite après !!

Chœur des fans (allegro con brio) : Merci Chantecler d'exciter ainsi notre « curiositerie » !!

Pour les vrais amateurs de bonne prose, votre serviteur joint le texte complet de la conversion de Paul Claudel dans lequel il a pioché (avec sa « binette » bien entendu) car il faut citer toujours précisément ses sources ce que ne fait pas toujours certain historien-histrion. Pas vrai Napoléon ?

 

Quant aux amateurs de peintures murales religieuses qui ne doivent pas manquer dans notre bouillon de culture auxonnais, ils pourront, s'ils le désirent, consulter le blog de l'association PACOB que j'administre depuis quelque temps, à la suite de Martine.

https://www.pacob.net/

Auxonne, Noël 2023, un ex-voto de Chantecler

Auxonne, Noël 2023, un ex-voto de Chantecler

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 27 décembre 2023 (J+5483 après le vote négatif fondateur)

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Curiositeries
22 décembre 2023 5 22 /12 /décembre /2023 00:34

 

AUXONNE, NOM DE LA MÉDIATHÈQUE : « VOTE ET TAIS-TOI » ! (4) - du 22 décembre 2023 (J+5483 après le vote négatif fondateur)

Je sens que je vais décevoir votre curiosité à propos de cette « Curiositerie » qui semble bien vous passionner et exciter votre curiosité.

La preuve ? Je te la donne mon bonhomme : écoute un peu l'enthousiasme des vrais gens d'Auxonne et lit les nombreux commentaires dithyrambiques qu'une libérale « municipalité » a permis sur la rubrique correspondante de sa page facebook.

Ça te scotche, pas vrai ?!

Sous les airs de lieu accueillant que lui confèrent les miracles de la photographie de projet, cette page se révèle, en matière de libre expression, une forteresse imprenable. Il faudrait un Napoléon pour prendre ce Toulon. Pas vrai Ridley ? Pas vrai Joaquin ?

Tenter un commentaire dans cet ossuaire de la libre expression, c'est comme « pisser dans un violon ».

Un peu fatigué, donc, de « tirer sur les ambulances », sur la trottinette de la « trottinetterie », et son « trottineur impérial », j'ai décidé d'économiser mes gargousses et de faire une parenthèse.

Vous retrouverez la totalité des épisodes déjà publiés en remontant à partir du lien ci-dessous

AUXONNE, NOM DE LA MÉDIATHÈQUE : « VOTE ET TAIS-TOI » ! (3) - du 21 décembre 2023

Tu te dégonfles Chantecler !! Non je prends une pause quand tant de nos huiles prennent la pose ! Mais ce n'est qu'une pause !

Et une pause laborieuse qui vous parlera encore aujourd'hui de médiathèque car « La Parenthèse », tout comme la future « Binette », c'est aussi une médiathèque en gestation à quelques lieues de chez nous, à Quétigny !

Qu'avec mon impénitente « Curiositerie » j'ai déniché dans L'Écho des communes (Quétigny dévoile La Parenthèse du 1er mars 2022)

 

https://www.echodescommunes.fr/actualite_4146_quetigny-devoile-la-parenthese.html

 

Une lecture attentive ne nous a pas permis de découvrir de quel « remue-méninges » était sorti ce nom.

La réponse à notre question se trouvait en fait dans Vivre à QUÉTIGNY 205 d'octobre novembre 2020.

La municipalité de Quétigny, confiante sans doute dans les capacités de ses administrés, a procédé directement à un appel auprès des habitants, sans passer, contre gras émoluments, par des têtes pensantes expertes en « binette » et « curiositerie » comme a fait la nôtre !

Et la « trottinetterie » ?

Vous croyez pas qu'une dans le département ça suffit !

Tiré de L'Écho des communes, Claudi a déniché le programme de touts les activités offertes aux visiteurs de la « La Parenthèse » et a ajouté à celles-ci, pour notre future « binette » ou « curiositerie » une ineffable petite touche locale....

La suite (après la pause) à un prochain numéro

 

POST-SCRIPTUM (22 /12 à 13h30)

Notre rédaction, toujours très attentive aux publications locales remercie la Lucette de faire mention de nos travaux dans sa « Lucetterie », en précisant toutefois que le nom du fondateur de notre bibliothèque qu'on veut passer à la trappe s'écrit GIRAULT et non GIRAUD ! Allez prend ta plume et corrige, Lucette ! Et, pour le coup, va pas pleurer comme une madeleine !

Plus intéressant, le commentaire de PF en réaction aux dires de Lucette et en particulier sa conclusion :

« Puisque "le Passage" n'est presque jamais moqué, c'est peut être une signe »

Notre rédaction pense surtout que c'est la preuve que ce nom "le Passage" proposé gratuitement par une simple citoyenne auxonnaise (LB) tient mieux la route que les élucubrations coûteuses autant que prétentieuses de certaines officines.

https://www.facebook.com/profile.php?id=100063927558891&locale=fr_FR

Pour conclure en levant tous les doutes il est bien clair qu'en dépit du mérite relatif du choix « Le Passage », notre rédaction ne participera pas à la voterie ! Et pour cause !

AUXONNE : CLAUDE-XAVIER GIRAULT MENACÉ PAR LES « DÉBOULONNEURS » ?

Allez, Joyeux Noël et arrêtons un peu les c...eries qui foutent les boules dans le sapin de la sapinerie !

Et la « trottinetterie » ?      Vous croyez pas qu'une dans le département ça suffit !    Tiré de L'Écho des communes, Claudi a déniché le programme de touts les activités offertes aux visiteurs de la « La Parenthèse » et a ajouté à celles-ci, pour notre future « binette » ou « curiositerie »  une ineffable petite touche locale.... La suite (après la pause) à un prochain numéro

Et la « trottinetterie » ? Vous croyez pas qu'une dans le département ça suffit ! Tiré de L'Écho des communes, Claudi a déniché le programme de touts les activités offertes aux visiteurs de la « La Parenthèse » et a ajouté à celles-ci, pour notre future « binette » ou « curiositerie » une ineffable petite touche locale.... La suite (après la pause) à un prochain numéro

C.S. Rédacteur de Chantecler,

Auxonne, le 22 décembre 2023 (J+5483 après le vote négatif fondateur)

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Publié par Claude Speranza, Auxonnais - dans Curiositeries